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FICTION

1985

97' – 35 mm – Couleur – France, Israël, Royaume-Uni, Autriche, Pays-Bas

Esther

Ce premier long métrage de fiction, conçu comme un immense tableau vivant, raconte l’histoire d’Esther qui, dans la Bible, est choisie par le roi Assuérus qui ignore qu’elle est juive pour devenir son épouse. Découvrant un complot contre son peuple, elle parvient à le sauver. De cette histoire mythique de survie et de résistance, Gitai donne aussi la suite telle que la raconte la Bible : les Juifs, pour se venger, massacrèrent leurs ennemis. L’histoire entre en résonance avec les événements actuels, un parallèle souligné par le décor choisi : les ruines de Wadi Salib à Haïfa. Esther est le premier volet de la trilogie de l’exil (Berlin Jérusalem, Golem l’esprit de l’exil).


PRESSE

On dirait que les personnages contrastent visuellement avec ce qui se passe en arrière-plan et que des contradictions apparaissent au sein même de certaines scènes. Mais ces disparités encouragent le spectateur à jouer un rôle actif, à réfléchir, à prendre le film comme un tout.

Jonathan Rosenbaum, The Chicago Tribune, 11 mars 1989


Le réalisateur tient son histoire à une distance qui permet l’analyse. Les événements sont rejoués en une suite de tableaux rituels tournés dans les ruines de Wadi Salib, le vieux quartier arabe de Haïfa abandonné par les Palestiniens après la guerre de 1948. La présence de vieux comptes à régler, qui bouillonnent depuis des siècles, est quasiment palpable dans ce territoire magnifique mais ravagé. Dans les plans les plus frappants, les acteurs semblent se fondre dans l’architecture comme les personnages de miniatures persanes. À ces plans s’opposent d’autres, filmés au même endroit, qui lui donnent l’aspect d’une sordide décharge contemporaine. Ces juxtapositions illustrent bien la façon dont l’histoire de la région continue de hanter le présent d’Israël.

Stephen Holden, The New York Times, 19 mai 1989


FESTIVALS

• Festival de Cannes 1986 – Semaine de la critique

• Torino Film Festival 1986 – Grand Prix

• Rotterdam International Film Festival 1989

CRÉDITS

Scénario Amos Gitai, Stephan Levine

Image Henri Alekan, Nurith Aviv

Son Claude Bertrand

Montage Sheherazad Saadi

Effets spéciaux Bachir Abou Rabia

Décors Richard Ingersoll


Avec Simona Benyamini, Mohammed Bakri, Juliano Mer-Khamis, Zare Vartanian, Shmuel Wolf, David Cohen, Sarah Cohen, Rim Bani


Production Agav Films, Channel Four (Royaume-Uni), ORF (Autriche), Ikon (Pays-Bas), United Studios Herzlia (Israël)

Ce premier long métrage de fiction, conçu comme un immense tableau vivant, raconte l’histoire d’Esther qui, dans la Bible, est choisie par le roi Assuérus qui ignore qu’elle est juive pour devenir son épouse. Découvrant un complot contre son peuple, elle parvient à le sauver. De cette histoire mythique de survie et de résistance, Gitai donne aussi la suite telle que la raconte la Bible : les Juifs, pour se venger, massacrèrent leurs ennemis. L’histoire entre en résonance avec les événements actuels, un parallèle souligné par le décor choisi : les ruines de Wadi Salib à Haïfa. Esther est le premier volet de la trilogie de l’exil (Berlin Jérusalem, Golem l’esprit de l’exil).


PRESSE

On dirait que les personnages contrastent visuellement avec ce qui se passe en arrière-plan et que des contradictions apparaissent au sein même de certaines scènes. Mais ces disparités encouragent le spectateur à jouer un rôle actif, à réfléchir, à prendre le film comme un tout.

Jonathan Rosenbaum, The Chicago Tribune, 11 mars 1989


Le réalisateur tient son histoire à une distance qui permet l’analyse. Les événements sont rejoués en une suite de tableaux rituels tournés dans les ruines de Wadi Salib, le vieux quartier arabe de Haïfa abandonné par les Palestiniens après la guerre de 1948. La présence de vieux comptes à régler, qui bouillonnent depuis des siècles, est quasiment palpable dans ce territoire magnifique mais ravagé. Dans les plans les plus frappants, les acteurs semblent se fondre dans l’architecture comme les personnages de miniatures persanes. À ces plans s’opposent d’autres, filmés au même endroit, qui lui donnent l’aspect d’une sordide décharge contemporaine. Ces juxtapositions illustrent bien la façon dont l’histoire de la région continue de hanter le présent d’Israël.

Stephen Holden, The New York Times, 19 mai 1989


FESTIVALS

• Festival de Cannes 1986 – Semaine de la critique

• Torino Film Festival 1986 – Grand Prix

• Rotterdam International Film Festival 1989

CRÉDITS

Scénario Amos Gitai, Stephan Levine

Image Henri Alekan, Nurith Aviv

Son Claude Bertrand

Montage Sheherazad Saadi

Effets spéciaux Bachir Abou Rabia

Décors Richard Ingersoll


Avec Simona Benyamini, Mohammed Bakri, Juliano Mer-Khamis, Zare Vartanian, Shmuel Wolf, David Cohen, Sarah Cohen, Rim Bani


Production Agav Films, Channel Four (Royaume-Uni), ORF (Autriche), Ikon (Pays-Bas), United Studios Herzlia (Israël)


VENTE / DISTRIBUTION

AGAV FILMS

6, cour Berard. 75004 Paris – France

+33 (0)1 42 40 48 45

agav@amosgitai.com

VENTES / DISTRIBUTION

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6, cour Berard. 75004 Paris

France

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