top of page
EXPOSITION / INSTALLATION
Traces. Lullaby to My Father
Traces. Lullaby to My Father
Traces. Lullaby to My Father
Traces. Lullaby to My Father
Lettre signifiant que Munio Weinraub ne peut plus suivre l’enseignement de l’école d’art de Francfort (1933). Archives personnelles d’Amos Gitai
Traces. Lullaby to My Father
1/6
Deux installations d’Amos Gitai sont exposées au Musée d’Art Ein Harod : Traces. Lullaby to
My Father dans les réserves au sous-sol et Traces. Efratia’s Correspondence, dans les galeries supérieures du musée.
Des Traces et reliquats de documents – notes de service, procès-verbaux, lettres – servent de point de départ à l’installation qui s’articule autour des procédures judiciaires menées à Francfort
par « le Reich allemand contre le graveur Wilhelm Gohl, le voyageur Georg Fellendorf, l’architecte Munio Weinraub et l’étudiant Heinz Schwerin » en juillet 1933. Les quatre accusés ont été inculpés pour « trahison envers le peuple allemand et d’actes de haute trahison ».
Commissaire Galia Bar Or
bottom of page